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Sterling voulait payer sa maîtresse

Donald Sterling voulait acheter le silence de sa maîtresse. (Reuters)



Banni à vie par la NBA pour ses propos racistes tenus envers la communauté noire, le propriétaire des Los Angeles Clippers, Donald Sterling, a regretté de ne pas avoir pu acheter le silence de sa maîtresse qui a révélé l’affaire.


Donald Sterling a du mal à digérer son bannissement à vie par la NBA consécutif à ses propos racistes révélés le week-end dernier. Le propriétaire des Los Angeles Clippers est sorti de son silence en se confiant au magazine américain Dujour. Au cours d’un entretien gardé en grande partie secret, il a émis des regrets non pas sur la teneur des propos tenus, mais pour ne pas avoir réussi à acheter le silence de sa maîtresse.


"J’aurais dû la payer", a confié l’homme d’affaires âgé de 81 ans au magazine américain Dujour. Il fait ainsi référence à Vanessa Stiviano, sa maîtresse, qui est à l’origine de l’affaire.


Selon lui, la jeune femme d'origine mexicaine aurait vendu au site américain TMZ une conversation téléphonique au cours de laquelle il lui demandait "de ne plus ramener de noirs à (ses) matches", lui reprochant également d’avoir publié sur Instagram une photo aux côtés de Magic Johnson. La franchise des Los Angeles Clippers pourrait être rachetée par le boxeur Floyd Mayweather, désigné sportif le mieux payé du monde en 2014.



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